Dans les médias


. Nicolas était l’invité de Stéphane Soumier mercredi 22 décembre, sur BFM de 8 h 15 à 8 h 30 afin d’y présenter « Ma petite entreprise a connu la crise » !

Ecoutez le podcast de l'interview


. NetPME a aimé "ma petite entreprise a connu la crise"

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. "L'entreprise qui ne voulait pas mourir"

L'histoire au quotidien de Solic, une entreprise frappée par la crise de 2008, qui finit par s'en sortir après avoir frôlé le précipice. Passionnant.



. New CFO.fr, L'e-magazine des DAF nouvelle génération

« Un dépôt de bilan, c’est une pression intense et de tous les instants sur le dirigeant et son DAF »

Lire l'intégralité de l'interview de Nicolas DOUCERAIN

. Coaching 3000, love & work coaching

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. La tribune 19 janvier 2011. Comment les PME ont surmonté la crise ?

Lire l'article et l'interview




 

 










. Voici un article paru dans "Valeurs actuelles"


 . Voici un article paru dans le Figaro du 3 février 2011


. Voici un article paru dans "Management"



. Voici un article paru dans "Le journal des entreprises"





. Voici un article paru dans "Liaisons sociales"








. Voici un article paru dans "20 minutes" du 9 mars 2011









. Voici un article paru dans Le Journal des Entreprises "Editions Var"



. Voici un article paru dans Le Journal des Entreprises "Edition Pas de Calais"



. Voici un article paru dans "Profession du sud est"





. Voici un article paru dans "Revue Banque"















. Ma petite entreprise a connu la crise : thriller économique / LePost.fr


Il est moins de six heures du matin, ce jour de septembre 2008. A la télé, la nouvelle de la chute de la banque américaine Lehman Brothers semble très éloignée de la réalité des PME françaises : après tout, les traders et autres hedge funds chutent pour s’être égarés dans le monde virtuel, quand le quotidien d’un jeune patron et si concret : satisfaire ses clients, manager ses équipes, développer l’emploi.


Et pourtant…


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. Voici un article paru sur http://livres-actu.tumblr.com/



 . Voici un article paru dans le Figaro du Figaro du 28 mars 2011



. Nicolas DOUCERAIN : Patron nouvelle génération
(article paru sur LePost.fr le 04/04/2011)

L’entreprise de Nicolas Doucerain a connu la crise, et pas n’importe laquelle, celle de 2008 dont certains experts indiquent qu’elle a été plus profonde que celle de 1929. C’est dire. Une crise comme celle-ci, centenaire, on peut se dire en tant que responsable économique que c’est « la faute à pas de chance », car après tout, comme le disait Warren Buffet, la débâcle financière de 2008 a touché tout le monde, indépendamment de ses qualités : « face à un tsunami, le champion olympique de natation n’a pas plus de chance de s’en sortir que celui qui ne sait pas nager ». Question d’ordre de grandeur donc.


Dans son ouvrage, Ma petite entreprise a connu la crise, Nicolas Doucerain raconte donc, sans forfanterie ni fausse pudeur, le quotidien d’un chef d’entreprise durant ces mois funestes....



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. Pourquoi nous allons payer pour la Grèce /
Stéphane SOUMIER pour "La Tribune Mobile"

C'est le retour d'une des expressions les plus étranges de cette crise : l'aléa moral. Etrange, parce qu'en fait cela peut se traduire par "certitude parfaitement immorale". La certitude parfaitement immorale que les responsables n'auront pas à payer pour leurs fautes, en l'occurrence la certitude parfaitement immorale que les banques n'auront pas à assumer les risques qu'elles ont pris en prêtant de l'argent aux Etats souverains. L'actuel débat sur la restructuration grecque concentre l'ensemble de nos contradictions sur la marche du monde, une dizaine de serpents se mordent la queue, des centaines de mains tiennent des centaines de barbichettes, mais le premier qui rira prendra une telle claque que personne ne veut en envisager les conséquences.
Vous connaissez bien sûr l'idée fondamentale de l'aléa moral : l'idée qu'un agent économique qui se sent protégé peut prendre des risques considérables parce qu'il sait qu'il n'en paiera pas le prix. On peut penser que c'est bien cette logique qu'ont voulu casser les responsables américains en laissant Lehmann Brothers partir en faillite. On a tous vécu les conséquences de cette décision (je recommande d'ailleurs, à ce sujet, la lecture du petit livre "Ma petite entreprise a connu la crise" de Nicolas Doucerain. Personne n'a décrit, avec cette précision, comment une décision prise à New York se répercute en quelques heures, j'insiste, littéralement quelques heures, sur le carnet de commandes en France d'une entreprise de services en ressources humaines). Personne ne veut, ne peut revivre cela.
Voilà le deal. Voilà pourquoi nous allons payer pour la Grèce. Nous, contribuables, à travers l'argent que les Etats seront obligés d'injecter directement dans les banques quand aura sonné l'heure de dire qu'Athènes ne paiera pas. Parce que personne ne veut revivre Lehman. Voilà pourquoi les grands banquiers français ont pu tranquillement dire ces derniers jours qu'une réduction de 25 à 30% de la dette grecque était désagréable mais gérable. Parce qu'ils savent qu'ils n'en paieront pas le prix.
En réalité, chacun sait qu'une restructuration qui pèserait directement sur les banques serait insupportable. Jean Peyrelevade, l'ancien patron du Crédit Lyonnais, le dit très clairement : "Ce serait un nouveau cataclysme", un saut dans l'inconnu. Rien de comparable avec la faillite finalement récente de certains pays en voie de développement. Les plans de sauvetage étaient alors garantis, en dernier ressort, par les grands Etats, par les économies les plus solides du monde. Il n'y a plus d'économie solide, et donc les banques devraient déprécier en cascade l'ensemble des dettes qu'elles ont en portefeuille : inimaginable !
Dès lors, la seule question, maintenant, c'est de savoir comment nous allons avaler cette pilule-là ? Et là, je reviens sur la "petite entreprise" de Nicolas Doucerain. Lisez-le, je vous assure, il raconte la chute du chiffre d'affaires, et l'obligation du dépôt de bilan. Il le revendique d'ailleurs, un acte de gestion, qui permet de sauver l'essentiel, de reprendre des forces avant de repartir. Ce qu'il a fait. La conséquence ? Une inscription pour trois ans sur le fichier de la Banque de France ! Les banques lui ferment totalement le crédit. A titre personnel et professionnel. En clair, le système bancaire, seul responsable de sa chute, ne fait pas le moindre geste pour l'aider à se relever, et cela au nom de la gestion des risques ! C'est à hurler ! Aléa moral. Pourquoi donc Adam Smith a-t-il choisi cette expression pour l'élément le plus insupportable du système qui, chaque jour, fait tourner la planète ?












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